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Castellorizo - Patric (CD). Les chansons récentes aux côtés de nouvelles versions de titres désormais célèbres. De “Travailler c’est trop dur” repris en occitan jusqu’à “Castellorizo”, affirmation de ses origines méditerranéennes. Livret des textes et traductions en français. Aura - Occitània Prod.
Type | CD |
Année | 1993 |
Durée | 43’07 - 12 titres |
Langue | Français + Occitan Languedocien |
Distributeur | Occitània Produccions |
Label | Aura |
Code Distributeur | 9432 |
Castellorizo - Patric (CD)
Les chansons récentes aux côtés de nouvelles versions de titres désormais célèbres. De “Travailler c’est trop dur” repris en occitan jusqu’à “Castellorizo”, affirmation de ses origines méditerranéennes.
La chanson est un hommage à ses racines, notamment à sa grand-mère née à Castellorizo, dans le Dodécanèse, qu’elle quitta à l’âge de 16 ans pour partir vivre en Occitanie avec le grand-père de Patric. Patric interprète cette mélodie sur une rythmique typiquement grecque.
Livret des textes et traductions en français (CD).
Occitània Prod.
Titres :
1. Fille de feu
2. Mon pais
3. Castellorizo
4. Letra a Fatima
5. Qu’importe
6. Vòli pas trabalhar
7. Passant per Vilafranca
8. Il est des femmes *
9. Maguelone *
10. Gachòla
11. Fanfonne *
12. Les îles *
(* nouvelles versions )
Extrait:
Paroles de la chanson Castellorizo:
Comme un diamant posé sur un écrin tout bleu
Une terre dorée inventée par les dieux
Un peu de bout du monde île grecque au milieu
Je te reconnaîtrais même en fermant les yeux
C’est une belle histoire dans un livre trop vieux
Avec des maisons blanches et des volets tout bleus
Des toits presque brûlants juste au-dessous des cieux
Je la raconterais même en fermant les yeux
Kalimera adieussiatz (mattia mou)
Comme un enfant qui rêve et ne se souvient pas
Des images trop brèves me viennent quelquefois
D’une maison de l’île il y a bien longtemps
S’en allait une fille à l’âge de seize ans
Elle quittait sa terre pour la première fois
Et embrassait sa mère pour la dernière fois
Elle s’appelait Rose et suivait un soldat
Ils avaient quelque chose de moi
Kalimera adieussiatz (mattia mou)
Comme au fond de mes veines coule un peu de ton sang
De cette histoire ancienne que me chante le vent
Une vieille rengaine me réveille souvent
Avec ton nom qui traîne sans le connaître avant
Comme un dernier naufrage au bord de ton chemin
Je sentirais tes doigts sans te donner la main
Comme un dernier poème comme un dernier refrain
Je te dirais je t’aime même en ne disant rien
Kalimera adieussiatz (mattia mou)
Paraulas e Musica : Patric.
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