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Antòni BIGOT, òbra religiosa - Jòrdi PELADAN. Avec ses poésies dans le parler nîmois de son temps, Antoine BIGOT a régalé de nombreuses générations dans sa ville et bien plus loin. Commenté et traduit en français par Georges Peladan, ce livre ambitionne de mettre en lumière l'attachement du poète à sa religion protestante mais aussi son humanisme et son esprit de tolérance. M.A.R.P.OC.
Type | Broché |
Année | 2019 |
Langue | Français + Occitan Languedocien |
Pages | 150 |
Format | 15 x 21 cm |
Distributeur | M.A.R.P.OC. |
ISBN | 978-2-907690-52-2 |
Antòni BIGOT, òbra religiosa - Jòrdi Peladan
Antoine BIGOT (Nîmes 1825- Nîmes 1897) avec ses poésies dans le parler nîmois de son temps a régalé de nombreuses générations dans sa ville et bien plus loin. Protestant et républicain son œuvre reflète les valeurs auxquels il est resté fidèle toute sa vie. On connaît ses fables teintées d’humour et de bon sens, mais d’autres textes sont tout aussi réussis et digne d’attention, en particulier ce qui est l’objet de cet ouvrage, les poésies d’inspiration religieuse.
Le livre bilingue qu’édite la Marpoc, présenté, commenté et traduit en français par Georges Peladan ambitionne de mettre en lumière cet attachement du poète à sa religion protestante mais aussi son grand humanisme et son esprit de tolérance et d’ouverture. Les fidèles de l’assemblée du musée du désert savent qu’on lui doit « La torre de Constança » mais d’autres poèmes moins connus sont tout autant dignes d’intérêt. La foi n’exclut pas l’humour et son interprétation des paraboles situées comme ses fables dans son lieu de vie, sont particulièrement touchantes par leur simplicité et leur sincérité.
Livre bilingue Occitan-Français.
Éditions M.A.R.P.OC.
L'auteur original:
Antoine Hippolyte Bigot, né à Nîmes le 27 février 1825 et mort à Nîmes le 7 janvier 1897, est un poète nîmois d'expression occitane (provençal, dialecte de Nîmes). Issu d'une famille protestante, instruit, il échappe aux travaux des champs, au travail manuel si répandus à cette époque et se destine au commerce.
Dans les années 1850, il fait la connaissance de Jean Reboul, puis de Louis Roumieux avec lequel il se lance dans la littérature. En 1854, Frédéric Mistral et ses amis écrivains occitans provençaux fondent le Félibrige et invitent Antoine Bigot à les rejoindre. Il s'y refuse par goût d'indépendance. En 1861, il devient membre correspondant de l'Académie de Nîmes, puis membre à part entière en 1864. En 1865, il est membre du Consistoire de l'Église réformée. Il meurt en son domicile de la rue Cart, le 7 janvier 1897, laissant derrière lui la renommée d'un poète estimé et d'un homme juste et droit. En 1903, sous l'influence de son ami et continuateur Jean Mejean, on dresse le buste d'Antoine Bigot près de la statue de Jean Reboul au bas du grand escalier du Jardin de la Fontaine. Gaston Doumergue, alors ministre, est présent à la cérémonie.
Antoine Bigot (protestant et républicain) a souvent été opposé (légitimement ou non) à Jean Reboul (catholique et royaliste).
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