Élément(s) ajouté(s) récemment
Aucun produit
Autocollant Croix occitane +...
A nòstre biais - Apprendre...
Ubaye, la mémoire de mon pays : les gens, les bêtes, les...
L'abbaye Saint-Eusèbe de Saignon et ses dépendances -...
Description de l'occitan parlé à Sénaillac-Lauzès (Lot) et...
Revue des Langues Romanes - Tome 92 (1988 n°1)Tome 92 de la «...
Chrestomathie Provençale - Karl BartschD'après l'édition de...
Chroniques Patoises du Bas-Vivarais - Félix-Augustin...
Tome 109 de la « Revue des langues romanes » (revue de...
La Montagne à Pas Contés - A. Agati, P. ClémentContes de...
Recherches historiques sur l'introduction du français dans...
Chemin et Histoire CatharesTextes et Aquarelles de Pierre...
22 Chants traditionnels Gascons - Henri Marliangeas
Tome 103 de la « Revue des langues romanes » (revue de...
La littérature d'Oc - Jean Rouquette
Estèr - Traduction du Livre d'EstherTraduction française...
Pichoto Istòri de la literaturo d'O o Literaturo Prouvençalo...
La pèiro d'aiglo - Charles GaltierIllustrations de Francesca...
L'inconnu de Maraysse - Bernat Giély
Li rèst de cebo - Batisto Bonnet
La Terrour Roujo - Fèlis Gras
Fiò de bos - Bernat Giély
Grammaire Provençale et cartes...
Liens à visiter
Albès est un chanteur occitan qui démontre que la langue occitane est actuelle et se prête fort bien aux styles musicaux variés et actuels.
Après avoir présenté son récital 'Raja encara' pendant plusieurs années, dans des lieux parfois insolites, mais toujours de manière désintéressée et engagée, Albès vient de concrétiser son projet d'enregistrer ses dernières créations musicales.
Ses chansons traitent de thèmes très différents : l'injustice, la guerre de 1914-18, un chat nommé Teò, des regrets, de souvenirs et une certitude "Dins 3000 ans serem totjorn aqui" (dans 3000 ans nous serons toujours là - nous autres les occitans). Jaurès y côtoie Brassens et Marley.
L'objectif d'Albès est de montrer que l'occitan n'est pas une langue ringarde, la preuve, elle s'adapte très bien à des styles musicaux divers et actuels. Jaurès y côtoie, sans le moindre problème, Brassens et Marley.