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Pitaluga, l'amic Naz e la companha - Paul Arène. 25 contes traduits en occitan par André Lagarde. Illustrations de Jacques Fauché. Letras d'òc.
Type | Broché |
Année | 1973 |
Langue | Occitan |
Pages | 200 |
Format | 14 x 18 cm |
Distributeur | Letras d'òc |
Pitaluga, l'amic Naz e la companha - Paul Arène
25 contes traduits en occitan par André Lagarde.
Connaissez-vous Pitalugue, l’homme qui semait du vent pour ne pas récolter la tempête? L’ami Naz, qu’une malheureuse partie de billard transforma pour des années en lézard vert ? Et Nazaire qui tenait plus encore qu’à ses écus au crottin de son âne ? Et Siffret qui épousa sans le savoir une femme affreusement boiteuse ?…
Ces personnages et beaucoup d’autres, à la fois singuliers et vrais, Paul Arène, conteur incomparable, les a fait vivre dans des récits émouvants et gais, toujours savoureux et prenants.
André Lagarde nous redit ici ces histoires en occitan, dans une langue qui, pleinement maîtrisée, devient non seulement apte à tout dire mais ajoute à ce qui est dit sa musique et sa force expressive.
Illustrations de Jacques Fauché.
Éditions Letras d'òc.
L’auteur:
Paul Arène est né le 26 juin 1843 à Sisteron et mort le 17 décembre 1896 à Antibes. Après une licence en philosophie, il s’installe à Paris, tenté par une carrière littéraire. Il y rencontre François Coppée, Catulle Mendès, et surtout Alphonse Daudet. Avec ce dernier, il écrit de nombreuses chroniques provençales qui seront plus tard rassemblées sous le titre "Les Lettres de mon moulin".
Amoureux de Paris, mais fervent défenseur de sa culture natale, Arène est proche de Joseph Roumanille et de Théodore Aubanel ; il choisit Frédéric Mistral comme mentor. En 1875, il crée, avec ses amis méridionaux « exilés » à Paris, la Cigale, société littéraire et artistique, qui deviendra en 1879 le Félibrige parisien.
En 1889, Paul Arène, malade, s’installe à Antibes, où il écrira La Chèvre d’Or (1889) et Domnine (1894), peinture de la société sisteronnaise. Amoureux éconduit dans sa jeunesse, Paul Arène n’aura ni femme ni enfant. Il est inhumé au cimetière de Sisteron, où l’on peut lire, sur sa pierre tombale, jeu m’en vau l’amo ravido d’agué pantaïa ma vido (je m’en vais l’âme ravie d’avoir rêvé ma vie).
Le traducteur:
André Lagarde, fin connaisseur de l’occitan et porteur de la parole populaire, a patiemment recueilli pendant de longues années la matière de ce dictionnaire, mis en forme pour notre édition par Christian Lagarde.
André Lagarde a publié aux éditions Letras d’òc de nombreux recueils de contes (Les secrèts de las bèstias, Contes de la calandreta, L’aucelon de las sèt colors, Contes dels 4 vents…), de proverbes, de devinettes, des chroniques et des récits en langue occitane (Al temps que te parli, Los ensenhaments de M. Lapluma)…
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